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Soy Imperfecta

création 2002

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Poème trash

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PARTENAIRES

Le Moulin Fondu - Lieu de Fabrique des Arts de la rue - Noisy le sec

La ville d'Aurillac - Théatre/Saison Culturelle

Soutien de : Ministère de la Culture (DMDTS) et la Direction régionale

de la jeunesse et des sports Auvergne : Prix défi jeune

 

DIFFUSION

In Festival d'Aurillac (15)

Pronomade(s) (31)

Festival International du Mime Actuel

Mimos - Périgueux (24)

Quelques p'arts…(07)

Mairie du 2e (15h30)

Festival Derrière le hublot - Capdenac (12)

Morlaix - Fourneau (29)

Festival des croches et la lune - Verfeil

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PRESSE
Le Monde - Dimanche 24 & Lundi 25 août 2003
Aurillac - Festival Eclat
Les trois comédiennes de la compagnie Trace(s) en poudre parlent, avec leur spectacle Soy imperfecta, d'une autre marginalité, celle des prostituées. Elles manient crûment les clichés - poupée gonflable, sous-vêtements sexy, godemichés. Sans paroles, leur douceur laisse deviner l'envers du décor du quotidien de ces femmes, fait de peur, de tristesse, de misère. Entre sordide et séduction, les trois comédiennes, toutes jeunes, maintiennent une tension d'une maturité étonnante.
Catherine Bédarida

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L'Indépendant du Louhannais et du Jura - 23 et 24 juillet 2002
Chalon sur saône - Festival Chalon dans la rue

Les arts dans la rue ne traitent pas seulement de rêve, de pitrerie. Ils existent des artistes de la rue engagés, c'est le cas de Trace(s) en poudre. "Soy imperfecta" nous emmène dans le monde de la prostitution féminine. Un univers bien loin des "filles de joies", celui du quotidien, celui de la rue. Derrière les marques, la souffrance n'est jamais loin.

"Soy imperfecta", un spectacle sur le fil du rasoir, jouant la vie, la mort. Entre douceur et violence. Il apporte le témoignage d'un monde qui souffre, mais où l'amour existe. La prostitution sera en couleurs, en cris, en pleurs, en rires, liquide, dure ou gluante. Onirique mais bien réelle.

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Article de Thomas Hahn // dans Trottoir fév./mars/avril 2003

« Le spectacle le plus remarqué du off de Chalon dans la rue fut « Soy Imperfecta » , qui malgré le titre espagnole est une création de la compagnie Trace(s) en poudre d’Aurillac.

Le spectacle, en fixe, est inspiré d’une recherche sur le milieu de la prostitution.

Les jeunes interprètes évitent les clichés qu’on pourrait craindre dans un spectacle de danse théâtre engagé.

Elles mettent plutôt en scène les rêves des prostituées, mais aussi la violence psychologique et physique à laquelle elles sont confrontées. Elles abordent également la condition féminine.

La maturité de cette jeune compagnie, qui présente ici sa deuxième création, est surprenante.

Les personnages, avec leurs comportements obsessionnels, leurs peurs et leurs humiliations, leurs espoirs et leur volonté de survivre, bouleversent à chaque fois le public, tellement les trois actrices jouent émotionnellement.

Sans se perdre dans les ornementations de la danse, elles atteignent leurs limites corporelles.

Le nom de la compagnie en dit long. Elles laissent en effet derrière des traces, non seulement dans les esprits mais aussi sur l’asphalte. » Traduction S.Bertel

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REPORTAGE

LE FOURNEAU – Cnar des ARTS DE LA RUE

http://www.lesreportagesdufourneau.com/genese-de-Soy-Imperfecta-rencontre.html

http://www.artsdanslarue.com/far/2004/journal/tracesenpoudre.htm

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EQUIPE

Direction artistique et mise en scène / Aurélie GARD

Avec Aurélie GARD - Laurence LEYROLLES-  Lise CASAZZA (reprise de rôle Cécile VAN HILLE)

Chorégraphie / Création collective

Création sonore / François SARDI – Chloé CHAMULIDRAT

Improvisation Sonore en live / François SARDI

Chargée de production/ diffusion et coordination / Nath. BRUERE

Régie technique / Arnaud MIGNON

Photo / Gwenael MULSANT

Costumes – Scène d’ouverture / Julie DELJEHIER

 

 

 

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Soy Imperfecta nous projette dans la mécanique infernale de la prostitution féminine : marchandisation, négation du corps,identités bafouées...
Trois prostituées, sans parole, nous livrent entre souffrances et révoltes avortées de dérisoires instants de douceurs.
L'espace sonore se resserre sur ces corps abrutis d'habitude laissant pourtant sur leurs passages des trace(s) humaines, trop humaines...

  

Pour que ce monde ne soit plus seulement le monde des autres 

 

Nous cherchons avant tout un théâtre de sens et la rue est le lieu propice à l'expression de ce sens.

Elle nous permet d'être entendu par tous, sans discrimination.

Partager l'urbain, le bitume, le trottoir, où chaque jour tant de personnes sont jetées... comme si la rue ne pouvait pas être le lieu d'une dignité !

Laisser des trace(s)

Contre l'oubli

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